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Yves Dupont : « En permanence, Dieu envoie des informations en réponse aux sollicitations des contextes. »

Lorsque la science se rapproche de la religion

Rédaction Par Rédaction
05/10/2025
in Culture, Entretiens
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Yves Dupont : « En permanence, Dieu envoie des informations en réponse aux sollicitations des contextes. »
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Le professeur Yves Dupont est normalien, docteur en physique théorique, agrégé de physique, professeur en classe préparatoire à Stanislas.

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Son ouvrage est un événement car l’un des plus grands scientifiques français ose poser la question : le monde quantique laisse-t-il entrevoir un Esprit créateur ? Après un travail de synthèse l’ayant amené à se confronter à l’héritage des grands physiciens et à ce que leurs travaux dévoilent sur la nature de notre monde, Yves Dupont parvient à cette conclusion inattendue et stupéfiante : un Esprit créateur semble se manifester derrière les méandres du monde quantique.

Si les meilleurs spécialistes de physique quantique s’accordent pour dire que nul ne comprend la mécanique quantique, la recherche en physique quantique conduit paradoxalement à de multiples applications très concrètes. Yves Dupont nous aide à pressentir ce qui se cache derrière les apparences, derrière cette continuité que la physique quantique bat en brèche.

« L’Empreinte de Dieu dans le monde quantique » du professeur Yves Dupont est publié aux Éditions Trédaniel.

Actuamedia : Votre livre confirme le lien entre la religion et la science. Force est de constater que depuis quelques décennies, plus les scientifiques s’évertuent à vouloir démontrer que Dieu n’existe pas, plus ils se retrouvent confrontés à une impasse…

Yves Dupont : C’est vrai. J’ai commencé à travailler sur cette question à Stanislas il y a plus de 25 ans, à travers une session « Science et foi » pour les élèves de prépa. J’ai toujours eu cette intuition sur le fait qu’il y a un lien entre la matière et l’esprit. Ce que vous dites sur l’évolution des mentalités est juste, mais il ne faut pas généraliser trop hâtivement. Il y a encore beaucoup de physiciens qui ne sont pas du tout dans cette perspective. D’abord, parce que beaucoup d’entre eux font des calculs ou des expériences, et les questions métaphysiques ne s’imposent pas immédiatement. Il y a ceux aussi qui ont des positions dogmatiques et, pour eux, il est hors de question de parler de l’esprit, de métaphysique ou de Dieu. C’est une vision assez prégnante en France. Mais, c’est vrai, un certain nombre de physiciens ont vu que la science moderne ouvre sur les questions philosophiques et métaphysiques. Le mouvement va sans doute s’amplifier, puisqu’il y a de plus en plus de publications et d’interventions en ce sens. On revient de loin. Avant Newton, la physique était une partie de la philosophie, cela s’appelait la philosophie naturelle. Saint Thomas d’Aquin a fait un « Traité de philosophie naturelle » et tout cela était intégré à la réflexion philosophique. Avec Newton, il y a eu la mathématisation de la physique, ce fut une énorme avancée, son ouvrage s’appelait : « Principes mathématiques de la philosophie naturelle ». À partir du moment où l’on a mathématisé tout cela, d’abord on a obtenu beaucoup de résultats et la mathématisation se suffisait à elle-même. Du coup, les questions métaphysiques et philosophiques ont été évacuées comme n’appartenant pas au champ de la science. Nous sommes dans cette perspective depuis presque 400 ans. Avec la science moderne, la cosmologie et la physique quantique, ces questions philosophiques resurgissent inévitablement si l’on veut bien les voir et les étudier.

Commençons par la base. La physique quantique peut-elle se résumer par ce qui est très petit ou invisible ?

C’est la physique qui s’impose dans le domaine de l’infiniment petit, mais on trouve aussi des effets quantiques dans des états macroscopiques, avec un grand nombre de particules. Toute l’électronique moderne – les transistors, les circuits intégrés, donc l’informatique – fonctionne sur des effets quantiques. Donc, ce n’est pas seulement l’infiniment petit. Je précise que mon livre n’est pas un traité de physique, mais il fallait bien que je fasse l’état des lieux. Le mot quantique vient du mot quanta, introduit par Planck en 1900 : c’est-à-dire que dans le monde microscopique, un grand nombre de grandeurs physiques ne peuvent prendre de valeur que de façon discontinue. Nous sommes habitués, dans le monde qui nous entoure, à ce que toute mesure prenne n’importe quelle valeur. La vitesse de ma voiture peut prendre n’importe quelle valeur. Dans le monde quantique, elle ne pourrait prendre que des vitesses de 10, 20, 30 ou 40 km/h, sans aucune valeur intermédiaire, ce qui heurte le bon sens. Cette nouvelle physique a dû être construite pour comprendre et aboutir à ces résultats de quantification. Le grand bouleversement est venu avec Louis de Broglie, qui a introduit des ondes associées aux particules en 1927. C’était révolutionnaire, puisque ces ondes ne sont pas physiques. Une onde, c’est comme une vague. La grandeur qui se propage est une entité purement mathématique qui n’a pas de sens physique et que l’on ne peut pas mesurer avec un appareil. Tous les effets quantiques nouveaux viennent de ce caractère ondulatoire qui est associé au corpuscule. Donc, on ne peut pas localiser et mesurer la vitesse précisément quand il s’agit d’une particule. Cela signifie qu’une particule n’a pas de trajectoire, alors qu’en physique classique, on est dans l’étude des trajectoires. Et puis, il y a un hasard irréductible qui se manifeste, puisque les ondes permettent d’envisager des superpositions d’états. Une particule qui a une énergie peut être dans un état qui correspond à une superposition d’ondes. Donc, on est dans une grandeur qui n’existe plus et la mesure se fait avec une certaine probabilité. C’est là qu’apparaît ce que l’on appelle le hasard irréductible. Tout cela est entièrement nouveau.

J’aimerais rapprocher vos travaux des témoignages de nombreux médecins et réanimateurs. Les personnes qui ont vécu une expérience de mort imminente pendant quelques secondes – leurs déclarations sont les mêmes dans le monde entier – expliquent qu’elles voient leur corps, leur esprit s’élever, comme un drone. Aujourd’hui, on peut comprendre cela à travers la métaphore du cloud lorsque l’on télécharge nos données dans les nuages. Le corps humain est-il en quelque sorte l’ordinateur, c’est-à-dire la boîte mécanique, et quand l’ordinateur tombe en panne, ce n’est pas grave, les données ont déjà été téléchargées vers le cloud ? En l’occurrence, ce serait peut-être l’Esprit saint…

Il n’y a pas de preuve, vous vous avancez un peu, mais c’est ce que l’on peut légitimement penser. Sur les expériences dites de mort imminente, mon ami Jean Staune, qui a postfacé mon ouvrage, a une heureuse expression. La question est de savoir si le cerveau est comme un récepteur de radio, c’est-à-dire qu’il reçoit des informations qui viennent d’ailleurs, ou si le cerveau est comme un iPod, c’est-à-dire que tout est à l’intérieur, sans communication avec l’extérieur. Il semblerait, avec toutes ces expériences, que nous sommes plutôt dans la première solution, à savoir qu’il y a une communication avec le monde de l’esprit. Le sujet central est de montrer que la physique quantique ouvre une fenêtre sur l’au-delà de la matière. Quand on analyse les phénomènes que je décris, inévitablement on est amené à penser que nous sommes à un autre niveau de réalité que la matière et cet autre niveau de réalité ne peut pas être la matière elle-même. Donc, si ce n’est pas la matière, d’une certaine façon, c’est l’esprit. Autrement dit, la physique quantique souffle sur l’esprit. On peut très bien imaginer que le corps et le cerveau, avec toutes leurs particules, aient un lien avec l’esprit, ce qui corrobore ce que vous dites. Je décris un certain nombre de travaux de physiciens et de philosophes qui convergent vers cette réalité.

Je me souviens de mon livre de catéchisme et de la représentation de Dieu avec une grande barbe blanche et de longs cheveux. Toutes ces particules ne sont-elles pas divines ?

Je ne peux pas vous répondre comme scientifique. Je décèle la trace de l’esprit et je pense que l’esprit est partout. Il n’est pas localisé dans l’espace-temps, donc il est en tout temps et partout. Cela fait évidemment penser à Dieu omniscient présent derrière le monde en tout point et en tout temps. Ce que je dis ne peut pas permettre de décrire exactement qui est Dieu, c’est une question philosophique sans interaction avec la science. Il y a une empreinte et une trace de l’esprit quelque part dans la matière. Tout cela est assez naturel, car si Dieu crée le monde, il faut bien qu’il y ait une forme de « copyright » dans la matière, c’est-à-dire une trace du Créateur. Donc, la matière ne peut pas être coupée de l’esprit qui l’a créée. Il me paraît très naturel que la physique ouvre cette perspective d’un lien entre la matière et l’esprit. J’avais proposé comme titre « Le doigt de Dieu dans la physique quantique » en faisant référence à la célèbre peinture de Michel-Ange. C’est très bien vu, car on voit ce doigt qui approche, presque infiniment près de l’homme, mais sans le toucher véritablement. Il y a quand même une distance.

Peut-on interpréter ce doigt comme une antenne ou une onde ?

Tout à fait, cela rejoint la chaîne métaphysique que je propose, parce que les ondes de matière sont des êtres purement mathématiques. Ce qui est physique, c’est quand je détecte une particule à travers un détecteur. Cela rejoint le schéma d’Aristote, à savoir que l’état détecté, c’est l’actualisation d’un potentiel. Finalement, l’onde de Broglie apparaît très clairement comme un état potentiel. Il y a une chaîne métaphysique que l’on voit bien dans cette peinture de Michel-Ange, avec le caractère ontologique, Dieu, cette distance qui existe et qui peut faire penser à l’état potentiel, et l’actualisation qui est la matière vivante, en l’occurrence l’homme. Je suis toujours impressionné quand je vois ce tableau, avec cette idée très fine de Michel-Ange visant à laisser une toute petite distance entre le doigt et la personne. Il s’agit de la potentialité de l’actualisation de la matière à partir de l’esprit.

Certains estiment que Dieu a créé ce monde, qu’il sait où il va aller et que tout est programmé d’avance. À l’inverse, vous démontrez que les particules se déterminent au moment de l’action en évoquant le hasard. Cela fait penser aux guerriers qui prient Dieu avant la bataille en lui demandant la victoire. Cela implique-t-il que Dieu ne connaîtrait pas encore l’issue du combat ?

Effectivement, la physique quantique montre que l’actualisation des grandeurs physiques au moment de la mesure est du ressort du hasard. La question est de savoir si ce hasard a une cause physique, comme la plupart des hasards que l’on côtoie dans le monde, comme une pièce qu’on lance. Là, il s’agit d’un hasard absolu. Nicolas Gisin, qui est un grand physicien, a écrit un livre qui s’appelle « L’impensable hasard ». Le hasard qui se manifeste est sans causalité physique : c’est-à-dire qu’il n’y a pas de variables cachées prédéterminées qui donneraient le résultat en sous-main.

Cela peut induire que le 27 juin 1914, Dieu aurait ignoré qu’il y aurait une guerre mondiale puisque l’assassinat de l’archiduc s’est produit le 28 juin…

Oui et non. La physique quantique est contextuelle avec des variables. D’un contexte à l’autre, les grandeurs sont incompatibles. Quand je détermine un contexte, toutes les valeurs sont immédiatement altérées par leur détection, donc elles n’existent plus pour une future détection. À chaque nouveau contexte, il y a une nouvelle histoire. Cela permet de concilier le libre arbitre et l’omniscience divine. Le libre arbitre, c’est le choix des contextes, et il y a la réponse de la nature à différents contextes. Il se peut que l’esprit omniscient ait prévu les réponses à tous les contextes possibles.

Un peu comme une intelligence artificielle ?

Peut-être, mais sans doute mieux. Ce qu’il ne sait pas, c’est le contexte qui va être choisi. L’histoire est faite librement par les contextes et l’esprit omniscient apporte sa meilleure réponse possible à ces contextes. Ces réponses peuvent être prédéterminées. Encore une fois, a priori, il ne peut pas savoir ce que seront les contextes. Tous les mondes sont possibles et le Créateur choisit la meilleure solution.

Dans mon exemple, on sait que le chauffeur de l’archiduc s’était trompé de route, sinon il n’aurait pas croisé l’assassin…

Et cela a donné tous ces événements. Avec un autre contexte, il y aurait eu une autre réponse. Donc, tout cela est lié au libre arbitre. C’est satisfaisant, parce que cela signifie que tout n’est pas figé : ce que je décide, je le fais librement.

L’homme doit savoir s’adapter à chaque changement de contexte : n’est-ce pas un appel à la responsabilité humaine ?

C’est une question autour du libre arbitre et de l’omniscience divine. C’est une question qui peut être traitée mathématiquement. Si les particules étaient capables de répondre à toutes les sollicitations possibles, à tous les contextes possibles, il faudrait qu’elles partent avec d’énormes valises qui contiendraient tous ces résultats. Quoi qu’il arrive, ce n’est pas possible. Donc, les résultats ne peuvent pas être prédéterminés. Il y a une image qui a été donnée par Anton Zeilinger, prix Nobel de physique, qui explique que la question est de savoir qui est l’observateur. Finalement, l’ultime observateur, c’est Dieu. Être, c’est être perçu et c’est percevoir, et cela donne l’idée de Dieu omniscient qui effectivement est perçu par la nature, mais qui lui aussi perçoit ce que fait la nature. Un physicien suisse a introduit cette notion d’anges quantiques. En permanence, Dieu envoie des informations en réponse aux sollicitations des contextes, pour gouverner la marche du monde, et ces informations s’appellent les anges quantiques.

Cela signifie-t-il que nous serions observés comme dans une salle de jeux, que quelque chose d’extérieur analyserait nos réactions face à des sollicitations permanentes et que nous serions jugés à la sortie de ce lieu ?

Peut-être bien… C’est tout à fait intéressant comme réflexion. Cela rejoint l’idée de Saint Augustin que Dieu est en permanence en soutien de sa création en disant en substance que « si Dieu cesse de penser sa création, elle s’écroule ». C’est la même chose, si Dieu cesse d’envoyer ses anges quantiques, plus rien ne se passe. Finalement, envoyer des anges quantiques, c’est envoyer de l’information et, dans la Bible, c’est la parole. Tout cela se tient.

Les trois religions monothéistes ont à peu près la même vision, notamment sur le fait que l’invisible nous guide…

Absolument. L’esprit est en nous en permanence, il n’est pas localisé dans l’espace-temps, donc il est partout et en tout instant. Sans cela, nous n’existerions pas. L’esprit se trouve à proximité de la matière. J’ai beaucoup travaillé sur les ouvrages de Bernard d’Espagnat, qui est un grand physicien avec une énorme culture philosophique, qui défend l’idée qu’il existe un autre niveau de réalité que la matière. Il écrit très clairement que la fonction d’onde est un pont entre l’esprit et la matière.

Jean-Claude Bourret et le physicien Patrick Marquet viennent de publier un livre pour exprimer que les ovnis sont une sorte d’IA galactique. Pour vous, il s’agit de Dieu et pour d’autres, ce seraient des extraterrestres…

La réponse n’est pas unique. Ce qui est certain, c’est ce que l’on mesure et ce que l’on calcule. Les interprétations sont soumises à un débat. J’essaie d’être plus près de la physique et je passe aussi en métaphysique avec des interprétations, donc les interprétations peuvent être diverses. Mais mon interprétation est cohérente.

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